SOPK

Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) : faisons le point

Règles irrégulières, poils indésirables, boutons récalcitrants, prise de poids…
4 symptômes qui sont souvent le signe d’un syndrome en 4 lettres : SOPK, syndrome des ovaires polykystiques. 1,2,3

Ce trouble hormonal, plus fréquent qu’on ne le pense, touche environ 1 femme sur 10 en âge de procréer. 1,2,3 Pourtant, il reste méconnu et souvent banalisé, avec un délai moyen de 7 ans avant le diagnostic.4 Il peut y avoir des répercussions gynécologiques, métaboliques (glycémie, cholestérol) et psychologiques, avec parfois un retentissement sur la fertilité.3,4

Le reconnaître, c’est mieux le vivre. Et mieux le prendre en charge.3,4

Think Women démêle les fils de ce syndrome : signes, conséquences possibles, spécialistes à consulter, traitements et solutions.

Références

  1. Inserm. Syndrome des ovaires polykystiques : un problème de sensibilité à l’œstradiol [Internet]. 2024 [consulté le 25/04/25]. Disponible sur: https://www.inserm.fr/actualite/syndrome-des-ovaires-polykystiques-un-probleme-de-sensibilite-a-loestradiol/
  2. Marie C, et al. Dysfunction of human estrogen signaling as a novel molecular signature of polycystic ovary syndrome. Int J Mol Sci. 2023;24(23):16689. doi:10.3390/ijms242316689
  3. Inserm. Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) [Internet]. 2024 [consulté le 25/04/25]. Disponible sur: https://www.inserm.fr/dossier/syndrome-ovaires-polykystiques-sopk
  4. Association SOPK. La prise en charge du SOPK [Internet]. [consulté le 25/04/25]. Disponible sur: https://asso-sopk.com/la-prise-en-charge/